[Le girafon du Parc de la Tête-d'Or]

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[Le girafon du Parc de la Tête-d'Or]
droits Creative Commons - Paternité. Pas d'utilisation commerciale. Pas de modification.
localisation Bibliothèque municipale de Lyon / P0916 FIGRPT0136 01
technique 1 photographie positive : tirage noir et blanc ; 20 x 15 cm (épr.)
historique En 1986, les deux animaliers responsables du secteur des girafes du parc de la Tête-d'Or avaient annoncé un heureux événement. Quelques mois plus tard, on signalait une future naissance du côté des chameaux. Les deux petits sont nés début juillet 1987. Bien que ces deux naissances n'aient rien d'exceptionnel - le taux de reproduction de ces espèces étant sans surprise - les responsables du parc zoologique lyonnais les estiment néanmoins Importantes. La naissance un peu plus exceptionnelle en captivité est celle de la girafone. "Exceptionnelle de par la beauté de l'accouchement, le petit se présente toujours bien, les onglons antérieurs en avant, sa tête repose dessus. Pendant qu'elle met bas, la mère reste debout. Tant que le cordon ombilical n'est pas coupé, le girafeau ne respire pas. C'est très impressionnant, on a parfois l'impression qu'il est mort. Mais il tombe en douceur sur la paille", raconte Jean-Paul Deschanel. Louis Mounier et Jacques Réale, les deux animaliers du secteur des girafes et des éléphants, ont bien sûr assisté à la naissance, le 7 juillet. Là encore, aucune intervention vétérinaire n'est venue troubler l'événement. Les coliques ont commencé très tôt le matin, le petit, un mètre soixante-dix de hauteur, est apparu à 14 heures. Une heure et demi plus tard, il s'est dressé sur ses pattes. Source : "Carnet rose à la Tête d'Or" / Nathalie Blanc in Lyon Figaro, 16 juillet 1987, p.32.
note bibliographique "Dame girafe pouponne" / N.S. in Lyon Matin, 17 juillet 1987.

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