[Pôle régional de productique de Saint-Etienne (Loire)]

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localisation Bibliothèque municipale de Lyon / P0740 FIGRPT1476 04
technique 1 photographie positive : tirage noir et blanc ; 12,5 x 17,5 cm (épr.)
description Inscription(s) sur l'image : "Decobecq" (enseigne).
historique Installé sur d'anciens terrains d'aciéries, le pôle régional de productique ne représente plus désormais qu'une partie de l'ensemble Technopole de Saint-Etienne. Une évolution diversement appréciée.
historique A côté du stade Geoffroy-Guichard, haut lieu du football, la rue des Aciéries est devenue depuis un peu plus de cinq ans maintenant un site de nouvelles technologies. Les structures se superposent les unes les autres, et il n'est pas toujours aisé de s'y retrouver. Historiquement, sont tout d'abord venus s'implanter ici le siège de l'association "Pôle régional de productique Rhône-Alpes" et la Maison de la productique. Cette dernière n'étant que l'un des éléments du pôle, même s'ils travaillent en étroite collaboration. Première difficulté, cette maison ne regroupe que trois organismes l'ADEPA (Agence nationale pour le développement de la productique appliquée à l'industrie), le CETIM (Centre technique des industries mécaniques) et l'ENISE (Ecole nationale des ingénieurs de Saint-Etienne). Résultat, le hall de l'ensemble paraît souvent bien vide. Et certains observateurs regrettent que l'ensemble des partenaires de la recherche stéphanoise, notamment l'Ecole des Mines et l'Université, ne fassent pas partie de cette structure. Cette absence s'explique-telle par des questions de susceptibilité ou d'amour propre ? "Pas du tout", rétorque Daniel Goutte, directeur de la Maison de la Productique. "Tout vient du fait qu'au départ seuls ces trois organismes étaient en mesure de détacher leurs équipes pour qu'elles viennent travailler ici. Les autres, étaient dans l'impossibilité d'envoyer ici une partie de leurs bureaux". A côté de la mission purement locale de la Maison de la productique, le pôle en tant que tel a une vocation régionale. Depuis peu, le délégué général Pierre Brissot bénéficie du renfort de deux autres collaborateurs, Alai, Cornut et Alain Denniee. Son budget de 4 millions de provient pour moitié de l'Etat et de la Région. Lorsqu'il fait le point, quatre ans après la mise en route de l'ensemble, Pierre Brissot est partagé sur l'appréciation à porter. S'il. Source : "La technopole prend le dessus" / in Lyon Figaro (cahier saumon), 25 septembre 1989, p.22-23.
note à l'exemplaire Négatif(s) sous la cote : FIGRP00531.
note bibliographique "Decobecq, stéphanois et international" / Isabelle Hernette in Lyon Figaro (cahier saumon), 10 octobre 1989.

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