[Equipage lyonnais pour le Grand-Prix Camions du Castellet]

/ 9 suivante
[Equipage lyonnais pour le Grand-Prix Camions du Castellet]
droits Creative Commons - Paternité. Pas d'utilisation commerciale. Pas de modification.
localisation Bibliothèque municipale de Lyon / P0741 FIGRP00072 006
technique 1 photographie négative : noir et blanc ; 36 x 24 mm
historique Pour la sixième année consécutive le circuit Paul Ricard vibrera sous la poussée impressionnante de quelque soixante "machines" gavées de chevaux et poussées aux limites de leurs possibilités. L'épreuve française de la coupe européenne des courses de camions se déroulera les 2,3 et 4 juin 1989 sur le prestigieux circuit de formule 1 du Castellet. Inscrit au calendrier officiel de la FISA (Fédération internationale du sport automobile), "le Grand prix camion a évolué depuis sa création d'une façon très positive, tant sur le plan de la sécurité que celui de la technicité". L'élite internationale des pilotes est présente, au volant des engins les plus performants, dans cette étape française du championnat d'Europe. Auparavant, ces as du volant-gros calibres, se sont déjà affrontés sur les circuits de Grande-Bretagne, d'Autriche et de Hongrie. Mais la route ne s'arrêtera pas au Castellet, puisque les dernières épreuves auront lieu en Allemagne, Suède, Belgique et pour finir en apothéose sous le chaud soleil espagnol. Il s'agit d'une épreuve professionnelle, dans laquelle des "bahuts" de plusieurs tonnes se livrent à d'épiques duels. Pour cette occasion, certains pilotes, ceux qui tiennent le mieux la route en l'occurrence, n'ont pas hésité à créer d'authentiques teams de compétitions. C'est le cas de deux Lyonnais, mordus de la grosse mécanique. L'un d'eux, Jacques Perret, la quarantaine sportive, originaire de la Loire, travaille comme technicien chez Renault véhicule industriels. L'autre, Jean-Pierre Girard, trente-huit ans et tout aussi alerte, est essayeur-chauffeur à la même enseigne. Source : "Le bal des bahuts" / Agathe Carre in Lyon Figaro, 24 mai 1989, p.40.
note à l'exemplaire Ce reportage photographique contient 53 négatifs.

Retour