[Docteur Jacques Orgiazzi, chef du service...

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localisation Bibliothèque municipale de Lyon
technique 1 photographie numérique : couleur
historique Le nuage radioactif de Tchernobyl ne semble pas, en l'état des connaissances scientifiques et médicales, avoir laissé de traces sur la santé des Français et des Rhônalpins, en particulier. L'augmentation de l'incidence des cancers de la thyroïde s'expliquerait, selon les spécialistes, par une amélioration, entre autres, des outils diagnostiques. En janvier 2000, la Direction générale de la Santé avait demandé à l'Institut de protection et de sureté nucléaire (IPSN) et à l'Institut de veille sanitaire (IVS) un état des lieux des conséquences sanitaires de l'accident de Tchernobyl et une étude de "faisabilité" sur un éventuel travail épidémiologique, notamment sur les cancers de la thyroïde. La commission d'experts de l'IVS a rendu son verdict, soumettant au ministre un pré-rapport et lui suggérant justement le lancement de cette recherche au long cours. Parmi ces experts, un Lyonnais, le professeur Jacques Orgiazzi, chef du service d'endocrinologie du centre hospitalier Lyon-Sud, a un discours plutôt rassurant. Source : "Avis d'expert lyonnais" / Nathalie Blanc in Lyon Figaro, 6 juin 2001, p.3.

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