[Tournage du film "Le Voyage du Père"]

droits Creative Commons - Paternité. Pas d'utilisation commerciale. Pas de modification.
localisation Bibliothèque municipale de Lyon / P0702 B05 17 633 00001
technique 1 photographie négative : noir et blanc ; 6 x 6 cm
description Fernandel et Laurent Terzieff, assis autour d'une table, lors du tournage du film "Le Voyage du Père", de Denys de La Patellière, d'après le roman de Bernard Clavel (1965).
historique Fernandel (1903-1971), de son vrai nom Fernand-Joseph-Désiré Contandin, est un chanteur, acteur et réalisateur.
historique Le Voyage du père (1966), un film de Denys de la Patellière, avec Fernandel dans le rôle-titre, d'après un roman de Bernard Clavel. Tournage : 18 mars - 4 mai 1966. Interprétation : Fernandel (Quantin), Lili Palmer (Isabelle, la femme de Quantin), Laurent Terzieff (Frédéric, l'instituteur), Philippe Noiret (le voyageur rouspéteur), etc. Sortie en salle :16 septembre 1966, à Paris. Résumé : La famille Quantin, qui vit près de la frontière suisse, s'attriste de ne plus voir Marie-Louise, la fille aînée, partie exercer à Lyon le métier de coiffeuse. Poussé par sa femme Isabelle, le fermier part pour la ville, accompagné par l'instituteur Frédéric, qu'il espère avoir pour gendre. A Lyon, ils se rendent au salon de coiffure où Marie-Louise est censée travailler. La jeune fille n'y est plus. A présent, elle s'occupe des clients d'un certain Trianon : établissement de soins esthétiques pour messieurs. Inévitablement, le patron du salon prend Quantin pour un client bien particulier. Et ainsi, le père effondré apprend que sa fille fait le plus vieux métier du monde. Quantin et Frédéric en viennent aux mains et se retrouvent au poste de police. Au petit matin, enfin libérés, ils repartent à la recherche de la jeune fille pour apprendre qu'elle s'est envolée pour Paris où un riche ami l'a installée dans ses meubles. Ils reviendront seuls au village, le chagrin au coeur, et le fermier essaiera auprès de sa femme et de son autre petite fille de donner le change et de peindre la vie brillante à Paris de celle qu'ils ont définitivement perdue.
note à l'exemplaire Le titre principal de la photographie reprend les annotations de Georges Vermard sur les pochettes de négatifs. Dans le cas contraire, il a été forgé par la Bibliothèque de Lyon et placé entre crochets.

Retour