still image
photography
BML:BML_01ICO00101P0741_FIGRPT0227B_08
Rassaert, Philippe
P0741 FIGRPT0227B 08
Bibliothèque municipale de Lyon
Lyon Figaro (1986-2006)
collection
Photographes en Rhône-Alpes
BML:BML_01ICO00101
collection
Lyon Figaro
BML:BML_01PRA01001COLLYONFIGARO
[1re Biennale d'art contemporain de Lyon (1991). Vernissage avec Jack Lang et Michel Noir]
cre
Quinones, Marcos, 1948-20.. (photographe)
Lyon Figaro
Lyon (Rhône)
[1991-09-02]
1991-09-02
2014-10-14T11:44:30Z
1 photographie positive : tirage noir et blanc
18 x 24 cm (épr.)
scène
arts
1970-2000
Biennale d'art contemporain de Lyon (01 ; 1991)
Halle Tony Garnier (Lyon)
Noir, Michel, 1944-....
Lang, Jack, 1939-....
Raspail, Thierry, 1951-....
Prat, Thierry, 19..-....
France
Rhône (France)
Lyon (Rhône)
Lyon (Rhône) -- Arrondissement (07e)
Lyon (Rhône) -- Quartier de Gerland
Hommes politiquesConservateurs de musées
Inscription(s) sur l'image : "N'écrivez plus sur du béton : graffitez sur du marbre...".
César, Arman, Soulages, Helmut Newton... Ils sont soixante-dix artistes réunis dans un des grands événements de la rentrée artistique. Pour la première fois, une Biennale d'Art se tient hors de Paris, et se déroule à Lyon selon les volontés conjuguées du ministère de la Culture et de la municipalité. "L'Amour de l'art", puisque tel est son nom, est aussi la plus grande exposition organisée sur l'art contemporain en France depuis vingt ans. Forts de leur expérience d'Octobre des arts, et notamment du succès de la dernière édition, "La couleur seule", Thierry Raspail et Thierry Prat, sous des airs de faux ingénus, ont l'ambition de réussir une manifestation d'envergure. Ils s'en sont donnés les moyens. Soixante-dix monographies. Résultats le 2 septembre 1991 au soir, en présence de Jack Lang. Associée à la Biennale qui s'achèvera le 13 octobre 1991, une grande Fête est prévue, le 21 septembre. Elle entend donner à Lyon la fièvre de l'art. A travers expositions, tables rondes, ateliers ouverts, animations de places et soirée rock au Transbordeur, c'est la tentative de rendre omniprésente la création contemporaine, dans Lyon et sa périphérie. Tout le monde devrait en être. Pourtant, dans cette histoire, derrière la convivialité de façade, le chacun pour soi domine, et le plaisir solitaire prime l'élan collectif. Les galeries reprochent aux organisateurs de la Biennale leur goût du secret, mais n'arrivent pas elles-mêmes a s'organiser... Source : "L'amour de l'art, ou des egos gros comme ça" / Nelly Gabriel in Lyon Figaro, 2 septembre 1991, p.34-35.
restreints
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