[Laboratoire de l'INRETS à Bron]

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localisation Bibliothèque municipale de Lyon / P0740 FIGRP00023A 008
technique 1 photographie négative : noir et blanc ; 24 x 36 mm
historique L'Institut national de recherche sur les transports et leur sécurité (INRETS), qui fête ses vingt-cinq ans d'existence en mai 1989, a une vocation générale assez floue, donc mal connue, qui peut être recoupée sous le vocable général d'amélioration de la protection des usagers de la route. Placé sous la double tutelle du ministère de la Recherche et des Transports, l'INRETS a, depuis 1985, une antenne à Bron forte d'une centaine d'ingénieurs. Disposant de moyens conséquents, un budget annuel de l'ordre de cinquante millions de francs, cet organisme travaille sur plusieurs directions à la fois : les nuisances liées aux transports, les consommations d'énergie, les conditions de travail dans les transports routiers... L'INRETS est notamment à l'origine de travaux très poussés dans le monde de l'automobile. J. Delsey a montré, par exemple, qu'on pouvait espérer gagner près de 10% sur la consommation d'un véhicule en concevant un système de mise en température plus rapide des moteurs. A un tout autre chapitre, le laboratoire des chocs et de biomécanique de l'INRETS a participé au développement de glissières de sécurité en rondins de bois, cinquante kilomètres en ont déjà été posés. Leur caractère original et l'amélioration de la sécurité qu'elles entraînent ont été largement reconnus puisqu'elles équiperont les réseaux routiers qui desserviront les stations de Savoie lors des Jeux olympiques d'hiver de 1992. Source : "Le labo des transports" / P.P. [Pierre Perret] in Lyon Figaro, 12 mai 1989, p.6.
historique Au 1er janvier 2011, l'INRETS et le LCPC (Laboratoire central des ponts et chaussées) ont fusionné pour donner naissance à l'IFSTTAR : Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux. Les deux organismes se doteront d'un site internet commun : http://www.ifsttar.fr.
note à l'exemplaire Ce reportage photographique contient 28 négatifs.

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