[Conférence de presse sur la première greffe du visage]

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localisation Bibliothèque municipale de Lyon
technique 1 photographie numérique : couleur
historique Une semaine après la première greffe partielle de visage, première mondiale réalisée sur une femme âgée de 38 ans, défigurée par la morsure d'un chien, la communauté médicale attend de voir comment le greffon va évoluer. "La réussite ne vaudra que si l'après-chirurgie est réussie", mettait en garde hier le professeur Bernard Devauchelle du CHU d'Amiens. Sa partie du contrat remplie, "la jeune femme est en excellent état général et l'aspect du greffon est normal", ce spécialiste réputé de la chirurgie maxillo-faciale a passé la main à son confrère Jean-Michel Dubernard. Pionnier de la greffe de main et chef de service de chirurgie de la transplantation à l'hôpital Edouard-Herriot, son équipe avait déjà choisi, mis en oeuvre et assuré le suivi du traitement immunosuppresseur. "Nous avons essayé de donner à cette patiente le maximum de chances de succès immunologique", estime Jean-Michel Dubernard qui reconnaît que le plus grand risque d'une telle opération reste le rejet. Source : "Hortefeux fait le pari de l'insertion et de l'action locale" / Frédéric Poignard in Lyon Figaro, 3 décembre 2005, p.4.

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