[Bernard Chifflet, vice-président du Tribunal de Lyon]

[Bernard Chifflet, vice-président du Tribunal de Lyon]
droitsCreative Commons - Paternité. Pas d'utilisation commerciale. Pas de modification.
localisationBibliothèque municipale de Lyon
technique1 photographie numérique : couleur
historiqueLes attaques du clan Mitterrand contre le juge Philippe Courroye, reprises parfois avec une certaine complaisance, continuent de susciter de vives réactions dans le milieux judiciaires. On voit même autour de la personnes du juge de l'affaire du trafic d'armes avec l'Angola se resserrer les rangs de magistrats - et de leurs organisations professionnelles - choqués par le caractère outrancier des déclarations de Jean-Christophe Mitterrand ou de ses proches à l'encontre du magistrat privé du droit de réplique. De 1987 à 1996, Philippe Courroye a exercé les fonctions d'instruction au tribunal de grande instance de Lyon avant d'être promu à la Cour d'appel puis de rejoindre, c'était en 1999, le pôle économique et financier du tribunal de Paris. Chacun à Lyon garde en mémoire les tentatives de déstabilisation dont il fit l'objet alors qu'il instruisait les affaires Noir, Botton, Carlgnon... devenues des références dans les annales et chroniques des juridictions lyonnaises. L'histoire se répéterait-elle? Au tribunal de Lyon, les magistrats se disent scandalisés devant les attaques à répétition qui visent leur ancien collègue de l'instruction. D'autres comme le vice-président Bernard Chifflet vont au-delà de l'indignation, énonçant quelques vérités qu'il juge bonnes à rappeler. Source : "Les mise au point du vice-président Chifflet" / Gérard Schmitt in Lyon Figaro, 13 janvier 2001, p.1 et 8.

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